🕵️♂️ Les bons plans du Premier ministre belge à l’OTAN
Regardons ensemble cette vidéo où le Premier ministre belge, en grande pompe depuis l’OTAN, nous dévoile ses “bons plans”... ou plutôt ses plans douteux, enveloppés dans un vernis diplomatique.
Nous y sommes : grâce à cette vidéo, même l’OTAN commence à lever un sourcil face aux Fake Pubs du chef du gouvernement belge. Des promesses creuses, des chiffres gonflés comme des ballons de baudruche, et des slogans qui feraient rougir un vendeur de multipropriétés.
Et puis, il y a le gros fake flamand, désormais impossible à ignorer. Une opération de communication si grossière qu’elle ferait passer un deepfake pour un documentaire Arte. Faites ce que vous voulez, mais ne dites pas qu’on ne vous avait pas prévenus.
Découvrons tous ensemble les “bons plans” du Premier ministre via l’offre jointe — un lien savamment déguisé, menant vers un RTBF 2.0 cloné, hébergé sur un serveur obscur, probablement situé entre un bunker numérique et un data center moldave.
Un site miroir, un nom de domaine trafiqué, et une interface qui imite la RTBF avec une précision chirurgicale... sauf qu’ici, les news sont plus fictionnelles qu’un épisode de Black Mirror. Bienvenue dans le royaume du simulacre, où l’information est un hologramme et la vérité un bug d’affichage.
🕵️♀️ RTBF clonée : enquête sur une arnaque numérique
🎭 Un faux site plus vrai que nature ?
Bienvenue sur RTBF 2.0 – l’arnaque cosmique, où chaque pixel crie "faux" plus fort qu’un vendeur de NFT en solde. Le site cloné imite grossièrement l’apparence du vrai, mais oublie les fondamentaux :
- Liens internes cassés ou bouclés
- Options de partage et vidéo inaccessibles
- Fond de site incompatible avec le design RTBF
- Absence de footer et de mentions RGPD
- Aucun consentement aux cookies
- Meta HTML épuré, loin des standards médiatiques
- Images, CSS et JS hébergés sur un domaine douteux :
freeorrice.com
🔍 Analyse technique
Le HTML du site révèle des composants dynamiques hébergés par un domaine suspect. Une simple recherche WHOIS confirme l’opacité du propriétaire :
Ce cas illustre un abus flagrant des ressources gratuites offertes par les hébergeurs et des failles dans les systèmes de modération publicitaire des géants du web.
🚨 Conséquences et réflexions
Les victimes se multiplient, la police croule sous les plaintes, et les escrocs dansent sur les serveurs. Cette mascarade numérique démontre l’urgence d’une régulation plus fine et d’une vigilance collective.

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